Philippe Delpierre
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Nous n'avons pas voulu écouter les avis négatifs que nous avions reçu. Après tout c'est vrai que la perception des uns n'est pas forcément celle des autres.
Cette fois-ci bien mal m'en a pris.
Après un début plus que prometteur, personne agréable, gros potentiel de clientèle il faut bien l'admettre. Tout a dérapé une fois que la première offre interessante est arrivée.
Madame Toma s'est permise d'y ajouter une clause suspensive sans nous en aviser. Une clause ridicule en plus car elle faisait capoter la vente d'office !
Nous refusons et faisons une contre proposition
Une nouvelle fois notre proposition a été modifiée sans nous en aviser dans un premier temps sous prétexte qu'elle trouve que c'est équilibré.
Nous refusons et ensuite c'est complètement parti en couille au point que ça a tourné en joutes écrites avec toutes les parties intervenantes en copies ... J'ai demandé à se voir pour redéfinir la collaboration mais non elle en a rajouté.
Le moins que l'ont puisse dire c'est qu'elle est vindicative et comme je ne me laisse pas faire non plus c'est tout juste !
Je vous passerai les erreurs de chiffres et les incohérences dans le compromis ...
Les mensonges pour se dédouaner et le PIRE de tout, une extrême mauvaise foi. Même en lui mettant sous le nez des écrits qu'elle a réalisé pour la confondre, elle parvient à rester sur ses positions.
Au final nous avons exclus l'agence des négociations et nous sommes parvenus à un accord avec les deux notaires.
Nous avons dû transiger et avancer 5400 euros sur des frais qui ne nous incombaient pas mais bon ... c'était mieux que les 10800 "négocié" par l'agence.
A savoir qu'une agence qui fait correctement son travail aurait d'û s'assurer que les acheteurs étaient en mesures de payer.
Qu'elle aurait dû nous transmettre l'offre.
(même si elle prétend l'avoir fait ce n'est pas le cas).
Et in fine elle aurait dû respecter nos volontés concernant la vente. Bref pour une fois les bruits avaient raisons.
Edit : A la personne qui a répondu, soit vous êtes mal informée, soit vous mentez ! Vais je devoir diffuser les échanges de mails où mon notaire vous fait savoir que le compromis n'est pas correct ?
Quoi qu'il en soit, la justice va faire son office et c'est ici que la décision rendue finira ... On verra alors ce que vous trouverez à en redire !
En ce qui concerne l'initiative de tout rendre publique, c'est un peu à ça que servent les avis il me semble. Je suis un contributeur régulier, la plupart du temps pour dire du bien de mes expériences, mais lorsque c'est nécessaire, il faut aussi attirer l'attention du publique afin qu'il sache ce à quoi il s'expose. Sinon ça n'a plus de sens.
Edit : octobre 2024
Comme promis :
La décision du Tribunal :
23A1282 2 octobre 2024 p. 5
Justice de paix du canton de Fosses-la-Ville
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En d'autres termes, au vu du déroulement des échanges entre les parties (essentiellement produits
par la partie défenderesse), il faut bien constater que la partie demanderesse ne prouve pas avoir,
préalablement à l'acceptation de l'offre émise par les acquéreurs, informé la partie défenderesse de
cette nouvelle condition suspensive que ceux-ci jugeaient essentielle à la conclusion de la vente.
La partie demanderesse a par conséquent manqué à son devoir d'information et de transparence vis à-vis de ses mandants, ce qui constitue tant une faute déontologique que contractuelle.
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Bien sûr, vous avez récupéré une partie de l'argent que je jugeais immérité compte tenu du travail médiocre que vous avez accompli. Mais au fond, ce n'était pas l'argent qui comptait le plus. Ce que je voulais surtout, c'était mettre fin à cette impression d'impunité que vous continuez d'afficher en exerçant votre métier uniquement dans le but de maximiser vos profits, sans égard pour l'éthique.
Aujourd'hui, un jugement a été rendu. L'IPI vous a convoqué, et quelle que soit leur décision, ce qui est certain, c'est que cette situation est désormais gravée noir sur blanc.
À tous ceux qui me liront : ne vous laissez pas faire !