Centre Hospitalier de Cadillac - Cadillac-sur-Garonne

Le Centre Hospitalier de Cadillac est une institution dédiée à fournir des soins psychiatriques et de santé mentale à ses patients. Il est situé à 89 Rue Cazeaux Cazalet, 33410 Cadillac-sur-Garonne, France. Vous pouvez les contacter par téléphone en composant le 556765454. Pour plus d'informations, vous pouvez visiter leur site web à ch-cadillac.fr.

Parmi les spécialités du Centre Hospitalier de Cadillac, on compte les soins psychiatriques et le service de santé mentale. Cet établissement se soucie de l'accès de tous à ses services, c'est pourquoi il dispose d'installations adaptées aux fauteuils roulants, telles qu'une entrée accessible, un parking, des places assises, des toilettes et des toilettes adaptées aux fauteuils roulants.

Il est important de noter que, sur la base des 40 avis sur Google My Business, le avis moyen de cette entreprise est de 2,2/5. Nous vous recommandons fortement de visiter leur site web pour obtenir plus d'informations et pour prendre une décision éclairée quant à la poursuite de leurs services.

Avis de Centre Hospitalier de Cadillac

Tely oury Diallo

1/5

Voilà l'un des lieux où on maltraite les gens en France.
En effet : j'ai été emmené dans ce lieu par la force de Bordeaux à cadillac. à mon arrivé, on a trouvé plus de 15 personnes m'attendaient juste pour m'attacher sur un lit qu'ils ont préparés comme si c'est quelqu'un que j'ai fait du mal ou tué. Le fait de voir les gens appeler ce lieu un hôpital est une insulte vis-à-vis de l'humanité car, il n'y a pas d'humanité dans ce lieu (centre cadillac). J'ai été attaché pendant 15 jours et injecté, isolé injustement etc...et c'est ça qu'on appel être hospitalisé ? Il n'y a que des criminels dans ce lieu. La plupart des médicaments qu'ils m'ont donnés là-bas, je les mets dans ma bouche dès que je tourne le dos, je les crache immédiatement dans la poubelle. Car le peu que j'ai avalé a fait un impacte négatif dans mon corps (perte de poids, perte de sommeil, réchauffement de mon ventre, difficultés de s'asseoir correctement à cause des injections, affaiblissement des jambes, pertes d'érections, des traumatismes etc...) tout ce que j'ai subi dans ce lieu est à la responsabilité du médecin ( cette femme)mais dieu est grand !
Aujourd'hui, tout ce que je souhaite, c'est déposer une plainte contre ce médecin (cette femme). Nous venons tous dallah, et nous retournerons tous vers allah, allah est le seul grand et unique, il est le plus haut, il n'y a point de divinité en dehors d'allah ,allah seul me suffit, je demande à allah par sa grande force de me rendre justice contre ce médecin (femme).
Malgré que j'ai été emmené par la force dans ce lieu sans que je sois malade ou autre chose qui peut m'amener à faire des effets néfaste vis-à-vis des autres. Je ne fume pas, je ne bois pas et même suivre les femmes, je ne fais pas. Je me maîtrise en tant que hommes, et en toute conscience.
Mais ce médecin et son équipe trouvent un moins de me maltraiter et me faire subir des discriminations, ce médecin (cette femme)a fait des factures allant jusqu'à 3835,14€ que je dois rembourser sans vergogne et comme si c'est moi qui a demandé d'être hospitalisé ou qui se plaint de ma santé.
Inchallah, tu ne seras jamais heureuse. Déjà cela se voit sur toi médecin ( cette femme).
Allah tu es le seul ce dont je besoin !!!
Et croyez moi, je ne payerai jamais cette somme. Inchallah.

Medhi Franco

1/5

Bonjour est il normal de mettre une personne dehors car ce dernier (moi) a des problèmes de dépendances et a consomé dans l établissement .. j ai avoué des le départ, pourquoi ne pas m avoir confisquer la matière (j aurais pas etait contre) ? Et ensuite me faire des suivis d addictologie .. ou m intégrer à un groupe de parole… la direction m a mis dehors sans mes affaires perso dont mon traitement qui m est vital… ils ont fini par me faire du chantage « ont te rendras tes affaires que quand la gendarmerie seras là » … les gendarmes sont arrivés ils ont eu à faire a moi directement qui leur ai expliqué le fonctionnement de l hopital, ils m ont dit que franchement ils avait bien plus grave a gérer, les infirmièr ont a peine dit bjr au gendarmes et sont partis .. ils m ont rendu mes affaires , ok , mais ils ont mis mon traitement methadone dans une poche transparente pour bien que les gendarmes le voi, me faire passer pour le toxico que je suis .. en une semaine j ai rien fait, aucune terapie, aucune activité.. a par nous assommer de médicaments qui sont prescrits au bout de 5 min de rendez vous… le psychiatre je l ai vu une seul fois.. ne croyais pas ce que je lui disait.. le must c que aujourd’hui ça fait 8 mois que j etait etait mis dehors .. et depuis 8 mois ils me demande 120e … la blague !
Elle est vraiment louche la façon de vos soin … je parle de l ancienne équipe de bazas.. l équipe qui passai leur temp a dire que bazas c etait la planque, ou à fumer des cigarettes à longueur de journée au lieu de nous proposer des choses à faire… le mieu c quand ils avait plus a fumer ils se gênaient pas pour nous taxé … honte à cette équipe . J aimerais avoir une réponse ..

Barbie Turique

1/5

Il est plus que préoccupant qu'un psychiatre ait validé ce matin la sortie d'un patient lourdement schizophrène, orphelin, sous curatelle avec pour seul traitement .. un pilulier hebdomadaire qui finira au fond de la cuvette des WC.
Le patient en question a déjà prévu d'acheter de la drogue dès sa sortie prévue ce lundi, de sous louer son logement à un patient SDF rencontré quelques jours plus tôt dans le service hospitalier.
Comme il sera en rupture de traitement et à nouveau gorgé de cannabis, il va rechuter dans quelques semaines pour la énième fois .
Je m'étonne que malgré la préconisation du curateur et les messages laissés pour expliquer la situation, les psychiatres n'ont jamais trouvé judicieux de me parler.
Maintenant, lorsque vous voyez aux infos qu'un schizophrène a blessé quelqu’un au couteau, questionnez-vous sur les mesures de soin particulièrement inadaptées et bien souvent, l’oubli de l’entourage qui pourtant tente d’alerter.
Je me suis trouvée entre Noël et le jour de l’an avec dans mon salon un type en sang blessé au couteau + 4 policiers de la BAC et 6 pompiers, soit 10 personnes en tout , à l’heure du dîner alors que je tentais de me reposer. Voilà ce que je me trouve à vivre à cause d’un voisin dont la pathologie est très mal prise en charge, l’entourage mis à distance alors qu’un éclairage complémentaire serait nécessaire pour ajuster correctement le traitement.
Le patient en question en est à sa 3è rechute en 1 an. A un moment donné, le CHU doit prendre ses responsabilités. Si je constate que le patient en question sort bien lundi avec un simple pilulier hebdo, je témoignerai auprès de la presse. Cela sera d’autant plus simple que j’ai été jusque récemment attachée de presse dans l’édition et vais pouvoir accéder en quelques clics à tous les rédac chefs que je présélectionnerai. Cela permettra de pondérer les reportages toujours à charge sur de pauvres types pseudo radicalisés qui voudraient nous faire la peau sous couvert de religion.
Le sage regarde la lune, l’idiot regarde le doigt.
La psychiatrie, elle, parent appauvri de l’hôpital public, se meure …
J'ose espérer un contact sérieux du CH d'ici lundi pour rectifier le tir.

Shasha P

1/5

Horrible, fuyez n emmener pas vos enfants ici .
Mon fils 24 aujourd'hui décéder , j étais en désarroi j avais besoin d aide pour lui on m avait dit le médecin qui le suivra vous contactera pour discuter de la situation car il est majeur mais son état ne lui permet pas de savoir ce qui est bon pour lui ,finalement au bout de 3 semaines on me demande de venir le chercher sans m avoir consulter et échanger sur la vie à la maison .A mon arriver on nous a remis une ordonnance puis un papier pour 1 suivi 1 fois par mois en insistant sur le fait qu il doit prendre ses comprimés tout les soirs .
Mon fils n' a pas suivis son traitement j ai appelé ceux qui devait le suivre à creon on m a répondu il est majeur on peut pas le forcer, j ai demander de l aide pour mon enfant et on me dit si il veut pas on peut pas ,non mais sérieu on ne m'a proposer aucune visite à domicil ni traitement obligatoire par infirmier on m a laissé seul avec mon fils malade .
Mon fils s'est suicidé et personne ne l à aider .

mangastar 94

1/5

J'ai été hospitalisée là bas. Ambiance glauque, avec tres peu d'activités proposés là bas pour les patients, certainement par manque d'employés. Les locaux de certaines unités (en l'occurence) sont dans un état de délabrement lamentable, à tel point qu'on ne se croirait même pas en France, c'est une honte. Le fait que l'hôpital soit fermé, donne le sentiment d'être en prison. Les patients sont trop mélangés, on ne prend pas soin de les répartir en fonction de leur pathologie. Seule la maison des usagers permet aux patients permet de s'évader et de trouver du réconfort (endroit que je recommande pour les patients). Pour ceux qui ont l'intention de se faire hospitaliser en soins libres, évitez, fuyez cet endroit. Vous ne trouverez aucun repos. Certains patients qui ont des pathologies tellement lourdes empêchent les autres patients de trouver le calme, et le repos qu'ils méritent.

cor entus (corentus)

1/5

Pourquoi ce centre existe encore ? Parce qu'il n'y a pas assez de place pour des handicapés. Le personnel est malpoli, on nous accueille sans un seul sourire, ils shootent leurs patients pour qu'ils soient bien dociles et ensuite ont le culot de vous remettre la faute dessus. J'ai beau essayé de trouver une qualité, mais à force, j'ai mal à la tête. Vous êtes à l'apogée de la bêtise humaine. Si vous mettez votre enfant dedans, ne vous attendez pas à ce qu'il vous reconnaisse.

valerie dubar

5/5

Mon fils a été hospitalisé à l’unité court séjour à cadillac pour des troubles du comportement et de l’agressivité et je tiens à remercier grandement le dr Rutz ainsi que l’équipe des soignants.
Ils sont professionnels et à l’écoute des besoins du patient et de la famille.
Ils ont fait preuve d’humanité et ils ont su nous rassurer et surtout aider notre fils à se sentir mieux
Tout simplement Merci

Elisa de Roswell

1/5

Une vision des soins psychiatriques du 19ème siècle, bien loin des thérapies comportementalo-cognitives. Tout repose sur le gavage de médicaments plus ou moins forcé malgré la charte des patients affichée par l'établissement, la punition (enfermement dans sa chambre, attachement au lit plusieurs jours durant, privation de lecture) et la récompense (aller fumer des clopes dans la cour, super!). Le lieu ne manque pas de personnel mais le suivi psy est nul vu que chaque jour le patient a à faire à un psychiatre différent de la veille... Une seule activité est proposée par semaine pendant 2 heures... On s'y sent plus en prison (tout le monde en pyjama gris, super pour remonter le moral des dépressifs) qu'en séjour hospitalier et on ne ressort pas soigné. Seule l'équipe de nuit et les aides soignantes méritent que l'on souligne leur bienveillance. Hôpital à fuir.